Depuis plusieurs années, une rumeur tenace agite la presse people et les réseaux sociaux : le prince William aurait trompé son épouse Kate Middleton avec Rose Hanbury, une amie proche du couple royal. Cette prétendue liaison extra-conjugale aurait eu lieu en 2018, alors que Kate était enceinte de leur troisième enfant, le prince Louis.
Bien que jamais confirmée, cette histoire d’adultère royal ne cesse de resurgir régulièrement dans les médias, mettant à mal l’image de couple parfait des Cambridge. Décryptage d’une rumeur sulfureuse qui fait trembler Buckingham Palace.
Qui est Rose Hanbury, la supposée maîtresse du prince ?
Au cœur de ce scandale présumé se trouve Rose Hanbury, marquise de Cholmondeley. Âgée de 39 ans, cette ancienne mannequin est mariée depuis 2009 à David Rocksavage, 7e marquis de Cholmondeley. Le couple a trois enfants et vit dans le Norfolk, non loin de la résidence secondaire des Cambridge.
Rose Hanbury fait partie du cercle proche de Kate et William depuis des années. Les deux couples se fréquentent régulièrement et ont été photographiés ensemble lors d’événements officiels. C’est justement cette proximité qui aurait favorisé le rapprochement entre William et Rose selon les rumeurs.
Quelques éléments clés sur Rose Hanbury :
- Ex-mannequin devenue marquise de Cholmondeley
- Amie proche de Kate Middleton depuis longtemps
- Voisine des Cambridge dans le Norfolk
- Mère de 3 enfants, comme Kate
- Présente à plusieurs évènements royaux importants
Chronologie d’une rumeur tenace
2019 : les premières allégations d’infidélité
Les rumeurs d’adultère du prince William ont commencé à circuler en mars 2019. Le tabloïd The Sun publie alors un article affirmant que Kate Middleton aurait demandé à son mari de couper les ponts avec Rose Hanbury, devenue sa « rivale rurale ».
Rapidement, d’autres médias s’emparent de l’affaire. Le magazine américain In Touch va jusqu’à affirmer que William aurait trompé Kate alors qu’elle était enceinte de Louis en 2018.
Face à ces allégations, le palais de Kensington réagit en envoyant des mises en demeure à certains journaux britanniques. Mais le mal est fait, la rumeur est lancée.
2023 : résurgence des bruits de couloir
Après quelques années d’accalmie, les rumeurs ressurgissent début 2023. L’absence prolongée de Kate Middleton, opérée de l’abdomen en janvier, ravive les spéculations sur l’état de son couple.
La publication d’une photo retouchée de la princesse pour la fête des mères britannique met de l’huile sur le feu. Son alliance manquante sur le cliché alimente les théories les plus folles sur un possible divorce imminent.
Dans ce contexte, la presse exhume d’anciennes photos de Rose Hanbury, relançant les rumeurs d’infidélité. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #PrinceofPegging devient même viral, faisant référence à de supposées pratiques sexuelles de William.
2024 : Rose Hanbury sort du silence
Face à l’ampleur prise par les rumeurs, Rose Hanbury décide pour la première fois de s’exprimer publiquement en mars 2024.
Par l’intermédiaire de ses avocats, elle dément formellement toute liaison avec le prince William, qualifiant ces allégations de « complètement fausses ».
Cette prise de parole inédite vise à mettre un terme définitif aux spéculations. Mais sera-t-elle suffisante pour faire taire les mauvaises langues ?
Les réactions face au scandale présumé
Le mutisme du palais de Kensington
Face à ces rumeurs persistantes, la famille royale britannique reste fidèle à sa devise « Never complain, never explain » (Ne jamais se plaindre, ne jamais s’expliquer).
Le palais de Kensington n’a jamais réagi officiellement aux allégations d’infidélité visant le prince William. Seuls quelques rappels à la loi ont été envoyés à certains médias en 2019, sans jamais démentir explicitement les faits.
Cette stratégie du silence alimente paradoxalement les spéculations. Certains y voient une tentative d’étouffer l’affaire, quand d’autres interprètent ce mutisme comme un aveu tacite.
Kate Middleton, une épouse digne mais éprouvée
Si l’on en croit les sources proches du palais, Kate Middleton serait profondément affectée par ces rumeurs qui minent son couple.
La princesse de Galles ferait preuve d’une grande dignité en public, mais serait en réalité « profondément bouleversée » par cette situation.
Ses absences répétées et son manque de communication ces derniers mois sont interprétés par certains comme les signes d’une grave crise conjugale. D’autres y voient au contraire une stratégie pour resserrer les rangs et préserver son intimité face aux attaques.
Le prince William sur la défensive
De son côté, le prince William se serait montré extrêmement agacé par ces rumeurs qu’il juge infondées.
Selon des proches, l’héritier du trône aurait vivement démenti toute infidélité lorsque son épouse l’aurait confronté sur le sujet. Il considérerait ces allégations comme une atteinte à son honneur et à la stabilité de la monarchie.
Certains observateurs voient dans son comportement distant ces derniers mois le signe d’un prince sur la défensive, désireux de protéger sa vie privée à tout prix.
Les conséquences sur l’image du couple royal
Un conte de fées écorné
Depuis leur mariage en 2011, Kate et William incarnaient le couple royal parfait aux yeux du public. Jeunes, modernes et amoureux, ils semblaient avoir tout pour réussir.
Ces rumeurs d’infidélité viennent sérieusement écorner cette image idyllique cultivée depuis des années. Le prince charmant se révèlerait-il être un mari volage comme son père Charles III avant lui ?
Pour beaucoup de Britanniques, c’est tout un mythe qui s’effondre. Le couple modèle tant admiré montre ses premières failles, au risque de décevoir leurs nombreux admirateurs.
La stabilité de la monarchie menacée ?
Au-delà de l’image personnelle des Cambridge, c’est toute l’institution monarchique qui pourrait pâtir de ce scandale présumé.
William et Kate sont appelés à devenir un jour roi et reine d’Angleterre. Leur couple est vu comme un pilier essentiel de la stabilité future de la Couronne.
Des tensions conjugales au sommet de la monarchie pourraient fragiliser davantage une institution déjà malmenée ces dernières années (affaire Epstein, Megxit…). Certains redoutent même qu’un divorce des Cambridge ne précipite la fin de la royauté britannique.
Un couple plus humain aux yeux du public ?
Paradoxalement, ces rumeurs pourraient aussi avoir un effet positif sur l’image des Cambridge auprès de certains.
En montrant leurs failles et leurs difficultés, William et Kate apparaissent plus humains et accessibles. Loin de l’image lisse et parfaite qu’ils cultivaient jusqu’ici, le couple traverse visiblement des épreuves comme n’importe quel autre.
Cette humanisation pourrait finalement jouer en leur faveur, en suscitant l’empathie du public plutôt que son rejet.
Vérité ou fabrication médiatique ?
Des preuves concrètes inexistantes
Malgré l’ampleur prise par cette affaire, force est de constater qu’aucune preuve tangible n’est jamais venue étayer les rumeurs d’adultère du prince William.
Aucune photo compromettante, aucun témoignage direct n’a pu confirmer l’existence d’une liaison entre l’héritier du trône et Rose Hanbury. Les allégations reposent uniquement sur des sources anonymes et des suppositions.
Cette absence de preuves concrètes plaide en faveur d’une fabrication médiatique pure et simple, alimentée par le goût du sensationnel.
Une machine à rumeurs bien huilée
L’affaire William-Rose Hanbury illustre parfaitement le fonctionnement de la presse people et des réseaux sociaux en matière de rumeurs.
Un simple on-dit, repris et amplifié par différents médias, peut rapidement prendre des proportions démesurées sans le moindre fondement.
L’appétit du public pour les scandales royaux, couplé à la viralité des réseaux sociaux, crée un terreau fertile pour ce type de rumeurs infondées. Le moindre détail est sur-interprété et alimente la machine à spéculations.
La difficulté de démêler le vrai du faux
Face à ce flot ininterrompu d’informations contradictoires, il devient extrêmement complexe de démêler le vrai du faux.
Le silence de la famille royale, censé étouffer l’affaire, ne fait qu’alimenter les doutes. À l’inverse, un démenti officiel risquerait de donner encore plus d’écho aux rumeurs.
Dans ce contexte, chacun est libre d’interpréter les faits à sa guise. La vérité, si tant est qu’elle existe, restera probablement à jamais un mystère.
Les précédents historiques d’adultères royaux
Charles et Camilla, l’ombre qui plane
Impossible d’évoquer les rumeurs d’infidélité de William sans penser au précédent créé par son père, le roi Charles III.
Sa liaison extra-conjugale avec Camilla Parker-Bowles, alors qu’il était marié à Lady Diana, a profondément marqué l’histoire récente de la monarchie britannique.
Ce scandale, qui a conduit au divorce des parents de William, plane comme une ombre sur le couple Cambridge. Beaucoup craignent de voir l’histoire se répéter avec la nouvelle génération.
Les frasques d’Edward VII
Plus loin dans l’histoire, on trouve d’autres exemples d’adultères royaux retentissants. Le cas d’Edward VII, arrière-arrière-grand-père de William, est emblématique.
Surnommé « Edward the Caresser » (Edward le caresseur), le roi était réputé pour ses nombreuses maîtresses et sa vie dissolue. Ses aventures extra-conjugales étaient un secret de polichinelle à la cour.
Contrairement à aujourd’hui, ces écarts de conduite étaient alors considérés comme normaux pour un monarque masculin.
L’exception Diana
À l’inverse, les infidélités féminines ont toujours été beaucoup moins tolérées au sein de la famille royale.
Les liaisons présumées de la princesse Diana, en réponse à celles de Charles, ont fait scandale et contribué à ternir son image auprès d’une partie de l’opinion.
Ce deux poids deux mesures illustre bien les attentes différentes qui pèsent encore aujourd’hui sur les hommes et les femmes de la famille royale en matière de fidélité conjugale.
L’impact des réseaux sociaux sur les rumeurs royales
Une caisse de résonance sans précédent
L’omniprésence des réseaux sociaux a considérablement changé la donne en matière de rumeurs concernant la famille royale.
Twitter, Instagram ou TikTok offrent une caisse de résonance sans précédent aux moindres on-dit. Une simple spéculation peut devenir virale en quelques heures et prendre des proportions démesurées.
Ce phénomène d’amplification instantanée rend le contrôle de l’information beaucoup plus complexe pour le palais qu’à l’époque où la presse écrite dominait.
Les théories du complot prolifèrent
Les réseaux sociaux favorisent également l’émergence et la propagation de théories du complot autour de la famille royale.
L’algorithme de ces plateformes tend à mettre en avant les contenus les plus sensationnels, au détriment des informations vérifiées.
Ainsi, les théories les plus farfelues sur Kate et William peuvent rapidement gagner en visibilité et convaincre une partie des internautes, toujours avides de révélations croustillantes.
La pression constante du public
Cette exposition permanente sur les réseaux sociaux soumet le couple royal à une pression constante du public.
Chaque apparition, chaque photo est scrutée et analysée dans les moindres détails par des millions d’internautes à l’affût du moindre indice.
Cette surveillance de tous les instants rend la préservation de l’intimité extrêmement difficile pour William et Kate. Le moindre faux pas peut être interprété comme la confirmation des rumeurs qui circulent.
Les enjeux pour l’avenir de la monarchie britannique
Un couple clé pour la survie de l’institution
William et Kate sont appelés à devenir un jour les visages de la monarchie britannique. Leur couple est vu comme essentiel à la pérennité de l’institution.
Dans un contexte où le soutien à la royauté s’érode, notamment chez les jeunes, les Cambridge incarnent l’espoir d’un renouveau de la Couronne.
Des tensions conjugales au sommet de la monarchie pourraient sérieusement compromettre cet objectif de modernisation et fragiliser davantage le système monarchique.
Le défi de la transparence
Face à ces rumeurs persistantes, la famille royale est confrontée à un dilemme : maintenir sa traditionnelle politique du silence ou opter pour plus de transparence ?
L’opacité qui entoure la vie privée des Windsor est de plus en plus mal perçue par une partie de l’opinion publique, qui réclame davantage de franchise.
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